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ABBAYE D’ORVAL Un lieu de spiritualité, d’histoire, de légende et de savoir-faire

«En quête d’un espace intérieur et encore inconnu, l’homme est un pèlerin à la recherche de son cœur, de son être le plus profond.» Père André Louf, abbaye d’Orval

 Un lieu de spiritualité : le visiteur, le pèlerin pourra à orval découvrir comment les moines, en communauté, aspirent à la paix intérieure dans laquelle se développe la sagesse, dans un cadre de silence et de solitude ; comment dans la simplicité et le travail, ils sont en quête de la béatitude promise aux pauvres. 

 Un lieu d’histoire : sur place, le visiteur apprendra l’histoire de ce monastère créé au XIe siècle. Il traverse les siècles avec ses années de prospérité (en nombre de moines) et de malheurs (les guerres et les destructions n’épargnent pas les communautés monastiques), jusqu’en 1793 qui voit les armées de la Révolution française détruire totalement le site et forcer les moines à l’exil. Les ruines témoignent du passé du monastère. Ce n’est qu’entre les deux guerres mondiales qu’est entreprise la reconstruction du monastère, achevée en 1948, tel que nous pouvons le découvrir aujourd’hui. 

 Un lieu de légende : vous y apprendrez comment, dans la seconde moitié du XIe siècle, selon la légende, une truite jaillit de l’eau et restitua à Mathilde de Canossa (ou de toscane) l’anneau nuptial qu’elle venait de laisser tomber dans la rivière. C’est ainsi qu’en reconnaissance de cette intervention divine, elle décida la construction de ce monastère en ce Val-d’or, devenu orval. La fontaine du monastère porte le nom de Mathilde, et l’étiquette de la bouteille de bière orval rappelle la truite de la légende.

 Un lieu de savoir-faire : le monastère d’orval saura également démontrer au visiteur l’étendue du savoir-faire au travers du travail des moines dans les domaines de la fromagerie (dont l’activité remonte de 1928) et de la brasserie (1931), activités qui contribuent aux dépenses de subsistance de la communauté. 

Daniel Huvet